n peuple doit pardonner ou doit au moins apprendre à pardonner. Mais s'il oublie son histoire, il va répéter les erreurs du passé.
N'oublions pas le 19 septembre 2002, la date de l'attaque de la Côte d'Ivoire par ses propres enfants aidés pour la circonstance par des militaires de pays étrangers.
Aujourd'hui, il nous faut tirer les leçons de cette page tragique de notre histoire commune.
J'appelle personnellement les hommes politiques ivoiriens à prendre conscience de leur responsabilité dans cette crise et de désarmer les langues venimeuses pour promouvoir la paix et l'union des fils du Nord, du Sud, de l'Est, de l'Ouest et du Centre de la Côte d'Ivoire.
Que Satan ne prenne pas le contrôle de notre cœur. 2025 n'est pas la fin du monde. C'est une année électorale. Et c'est tout.
Dieu veille toujours
LA GR
Y A DIEU DEDANS
KNC