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’Imprimatur / Vie nationale : le président de la République dessine le futur de la Côte d'Ivoire...et rassure les Ivoiriens


Fin des clameurs. Le Président de la République va mettre de l’ordre. Il va aseptiser l’esprit de son peuple. Il va donner ce que l’on appelle l’élixir parégorique afin que les rumeurs les plus folles cessassent. C’est un homme de sagesse. Il le tient de son père spirituel le Président Félix Houphouët Boigny, le sage visionnaire, la sagesse incarnée, originelle et orthodoxe. Peuple de Côte d’Ivoire de paix, de fraternité, d’amour. Parce que Dieu est amour, retrouvons nos valeurs. Quittons les présupposés amenés par l’intelligence artificielle. Eloignons-nous de ceux qui rêvent d’un futur déjà passé. Il faut revenir aux valeurs existentielles : le partage, la solidarité, l’entraide. Toute chose qui concourt au bien-être. Telles sont les valeurs doctrinales que prône le Président Ouattara.


Ce lundi, il parlera. Lundi, on l’écoutera. Lundi, on le verra sous plusieurs registres. D’abord au Conseil des ministres extraordinaire. Ensuite devant l’Assemblée de son peuple, le parti, le RHDP. Puis, au-delà, au peuple de Côte d’Ivoire dont il est le Président. Il n’y en a qu’un seul. Il est le Président de tous les Ivoiriens. Comme tel, son devoir c’est de protéger son peuple. Comme tel, c’est d’aimer le peuple. Comme tel, c’est de distribuer ; autant que faire se peut à ceux qui en ont le plus besoin ce qu’il faut. Il s’y emploie. Il ne peut pas être partout à la fois car il n’est ni ubiquiste ni devin.


Plus qu'un Chef, le Père de famille de la nation ivoirienne


Mais il aime son peuple ; d’où les combats qu’il a mené d’hier à aujourd’hui. Il a plu à Dieu de le porter au pinacle de l’impérium, c’est-à-dire du pouvoir. Ce qui atteste qu’il a une bonté de cœur ; sinon jamais il n’aurait réussi à être Président de la Côte d’Ivoire. C’est un fils vrai, dont le cordon ombilical est dans l’humus de la Côte d’Ivoire, dans la terre de notre beau pays. Celui-là est un digne fils. Celui-là ne vit que pour son peuple et le bonheur partagé. Ouvrez les yeux et regardez. Vous verrez ce qui d’hier à aujourd’hui a changé. Continuons dans la paix. Comme tous les grands chefs, à l’orée des grands changements, Ouattara se donne le temps de faire dans le temps ce qu’il faut faire pour le temps. Naturellement, le chef qui est à l’écoute du murmure de son peuple sait que ce temps du temps est arrivé pour lui-même. C’est dialectique et philosophique. Il faut avoir la conscience éclairée afin d’être en mesure  d’anticiper.

Le chef en Afrique ne parle pas souvent. C’est du moins la première impression. Dans nos traditions pourtant d’oralité dominante, la prise de parole est quasi sacramentellement codifiée et hiérarchisée. Ce qui pourrait apparaître aux non-initiés comme étant pur folklore ou ritualisation vide de contenu est pourtant riche de substance et signification allant de la simple symbolique. Ainsi le chef parle-t-il par le biais de l’agent rythmique qui peut revêtir le manteau de son porte-parole, d’un médium ou intermédiaire efficace entre lui et le peuple capable entre autres de ne pas distordre la pensée du chef de savoir polir la parole. C’est une œuvre purement cartésienne qui nous ramène au célèbre « cogito ergo sum », « je pense donc je suis », mais qui va  bien au-delà,  parce qu’elle convoque et implique nécessaire une dimension sociologique voire métaphysique. En effet, le chef n’est pas chef pour lui-même mais pour les autres, l’ensemble de la communauté.


Le cercle restreint de collaborateurs fidèles, compétents et loyaux


Toute la praxis philosophique perçue  étymologiquement comme recherche de l’amour de la sagesse depuis Socrate, Platon, Aristote partant de la Grèce antique par exemple, pour ne citer qu’elle considérée comme l’un des berceaux de la philosophie, nous ramène à cette vérité que l’homme n’a conscience de lui-même que par rapport à autrui. L’on n’est pas sage seulement pour soi-même, mais perçu comme tel par les autres. Cela traduit bien la grandeur d’esprit et la vision prospective de ceux qui, nolens  volens, ont contribué à changer la nature de la gouvernance du monde avec des mots, des  idées, des opinions, des stratégies optionnelles et puis, oserais-je dire, la monstration normativo-fonctionnelle. Lorsque le chef s’adresse directement au peuple, c’est que le motif est suffisamment grave. C’est le rôle du chef de redresser le gouvernail du navire pour qu’il ne tangue vers les récifs. Le Président Ouattara est un homme de vision prospective à l’instar du père spirituel Houphouët. Avec des hommes de confiance, des hommes de base et d’autres dont les compétences impactent l’underground ivoirien, l’environnement à tous les niveaux.


Il s’agit notamment de son vice-président, un jeune frère, un ami de longue date, banquier central, gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) Tiémoko Meyliet Koné, une émule de sa technopole ; le ministre directeur de cabinet Fidèle Sarassoro ; la secrétaire générale du gouvernement, Masséré Touré épousé Koné ; le Premier ministre chef  gouvernement Robert Beugré Mambé dont la science, l’éclectisme impactent depuis la présidence de la CEI, les hauts faits d’armes à la tête du district autonome d’Abidjan, érigé en ministère du fait de sa personnalité, les VIIIe Jeux de la Francophonie qui étaient quasiment hypothétiques et qu’il réussit, avec la maestria, le calme, la sagesse et le savoir-faire consommé qui sont les siens, à la grande très grande satisfaction de la communauté mondiale.
Idem lorsque le Président Ouattara le sort de sa botte magique au moment où l’organisation de la coupe d’Afrique des nations était Hypothéquée. Aucune infrastructure de base n’était prête, les stades étaient à peine aux normes et acceptables au niveau de la CAF qui hésitait in fine à se prononcer. Que dire des routes, des échangeurs qui risquaient  de ne pas être construits et surtout livrés dans les délais car les chantiers avaient pris du plomb dans l’aile ; les voies de contournements qu’il a faites en tant qu’ingénieur général spécialiste des ponts dont il maîtrise la science et comment construire des voies et trouver des déviations, dans une agglomération déjà habitée ? Oui, l’ancien directeur de la société d’équipement des terrains urbains d’Houphouët Boigny, a-t-il bâti les Vallons, les 2 Plateaux, Aghien et autres Beverly Hills aujourd’hui qui portent son imprimatur sur l’écosystème d’Abidjan et ailleurs. Le natif de Songon est un homme de savoir,  de culture,  de religion. C’est  un homme apaisé et apaisant. Le disciple du Président Ouattara auquel il est totalement dévoué. Il tire d’ailleurs cette sagesse, ce calme, cette culture théocratique dans les valeurs des saintes Ecritures. Cette technopole qui gravite autour du Président a pour clé de voute du dispositif sécuritaire le ministre d’Etat Téné Birahima Ouattara.


Ouattara sonne le tocsin pour la paix


Et avec elle, l’on dénombre des fidèles  tous acquis à la cause de la paix, marchent et regardent tous dans la même direction que le chef.  Pour un pays cela est important.
Oui, l’opposition existe. Oui, il faut solder un certain nombre d’incompréhensions du passé. Alassane Ouattara y a travaillé et il faut continuer dans ce sens. Laissons les oiseaux de mauvais augure, les incantateurs, les objecteurs de conscience, les petits esprits aigris, une certaine presse aux abois en dépit des cris d’orfraie des conférences, des forums par-ci par-là ; d’autres types de rencontres qui vont avoir lieu, c’est d’abord se prendre en charge, s’assurer avant de rêver grand, il faut d’abord savoir vivre de façon utile et modeste. Partager le fruit du minimum et non pas construire des châteaux à des personnes qui le lendemain matin vont chercher à avoir à manger. Ouattara, lui, sait faire travailler l’argent, mais que c’est avant tout du papier car pour lui  l’homme passe avant tout.


Que gagnerait-on, à agiter des épouvantails et à rouvrir la boîte de Pandore ? A qui cela profiterait-il ? Qu’un individu interlope et pour le moins obscur en viennent à publier ses soi-disant mémoires en tentant d’écrire l’histoire à l’aune de ses turpitudes, cela ne devrait nullement troubler les acquis d’une paix obtenue au forceps  et au prix de nombreux sacrifices.« Ils savent que je sais tout – Ma vie en Françafrique » publié par Robert Bourgi aux éditions Max Milo, et co-écrit avec Frédéric Lejeal, ne devrait avoir aucune répercussion sur l’histoire vraie et contemporaine dont les témoins sont encore vivants. Les affirmations des auteurs n’engagent qu’eux-mêmes.


L’information et la communication, l'arme fatale à entretenir


La récupération qu’en font ou voudrait en faire certaines officines ne reposent que sur du sable.
Le seul avantage que l’on puisse en tirer c’est de sonner le réveil et la vigilance quant à l’apathie dont fait montre le système d’information du RHDP.
Il est de notoriété que le parti communique mal. Or, l’information est au cœur du dispositif de la vision et de la perception du chef de l’Etat.  Les pratiques optionnelles de l’information ne sont pas à la hauteur pour un parti dont le chef a une telle qualité et une telle influence dans le monde. C’est une véritable contradiction parce que précisément, à l’intérieur du parti, on a l’impression que chacun veut faire sa propre communication qui frise souvent l’idolâtrie au détriment des actions, des réalisations, des activités qui sont celles du Président de la République, le seul détenteur du pouvoir exécutif et qui en impulse la dynamique d’orientation.


C’est un problème qui doit être débattu à une échelle très élevée et qui ne doit pas être le fait d’un clan ou d’un cercle. Il faut désormais faire appel aux compétences. Ce n’est pas une question de préférence. C’est une question de réalisme. Hier, alors qu’il était Premier ministre, le Président Ouattara avait dans son sillage jusqu’à ce jour un certain nombre de journalistes de grande qualité qui ont su forger leur savoir-faire et leur notoriété, qui ont eu des responsabilités importantes et qui restent encore et toujours fidèles au Président et qui sont porteurs de son histoire et de pans de l’histoire de la Côte d’Ivoire. Il est bon pour remédier au déficit de communication observé par tous au niveau du parti et de mettre fin aux pratiques plutôt de laudation, de louange à n’en plus finir, d’idolâtrie parce qu’il faut montrer aux gens que la personne est compétente ce qui pourtant est logique car elles n’auraient pas de qualité qu’on ne les porterait pas à un certain niveau.
Pour l’heure, les Ivoiriens attendent d’écouter avec dévotion  leur Président.  


Me Bamba Alex Souleymane
Journaliste Professionnel
PDG des Editions Dunuya Communication
Expert Consultant en Stratégies
Doctorant en Hautes Etudes Internationales
et des Civilisations
Agent d’affaires judiciaires assermenté
Juriste / Conseils
Chevalier de l’Ordre national (2006)
Officier de l’Ordre du Mérite ivoirien (2001)
Commandeur dans l’Ordre sportif (2010)

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