Le site de paris sportifs international agrée en Côte d’Ivoire et exploité par la société LUDUS-SAS a réagi à l’affaire Apoutchou National et Lionel PCS qui défraie la chronique depuis le début de la semaine. Pour rappel, l’influenceur Web ivoirien Stéphane Agbré dit Apoutchou National a publié une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle il exhibe un sac contenant des liasses de billets de banque. Une somme qui appartiendrait au bookmaker Akobe Leonel alias Leonel PCS et destinée à un revendeur de véhicules Fofana Abdoulaye. Cette vidéo devenue virale a provoqué l’interpellation de ces trois personnes par la Pole pénal, économique et financier de la police nationale. Avec pour motif que cette somme d'argent aurait des origines douteuses voire un blanchiment d’argent.
Lionel PCS, connu dans le milieu des paris sportif notamment avec 1xbet, s’amasse des sommes importantes via ce site de paris et en est même devenu l’un des points de relais auprès de plusieurs parieurs. Celui-ci s’assure un train de vie luxueux grâce notamment à ces gains tirés de ces paris sportifs. De ce fait, entendre le nom de Lionel PCS cité dans cette affaire n’a fait que déduire la provenance à 1xbet. L'entreprise s'est donc vu dans l’obligation de réagir face à ces accusations liées à l’un de ces meilleurs parieurs en Côte d’Ivoire aux fins de redorer son image sur le plan local. « 1xbet Côte d’Ivoire réaffirme son engagement inébranlable envers la transparence et la conformité légale en Côte d’Ivoire (…) 1xbet Côte d’Ivoire ne tolère aucune forme de blanchiment d’argent ou d’activités illégales et se conforme pleinement aux lois locales sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme », a indiqué le site de pari sportif. Et de signifier : « chacun à faire preuve de retenue » dans cette affaire. Par ailleurs, précisons que cette affaire de billets de banque exhibés sur les réseaux sociaux ne conforte pas l’image de la jeunesse ivoirienne notamment à l’international. Laquelle jeunesse est donc appelée à plus de responsabilité dans ses publications sur les réseaux sociaux.
Casimir Boh